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Créée par Antoinette CAZADE LE PELLEY DU MANOIR

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A propos de cette cagnotte

Bonjour à tous, nous rénovons le château de Grandagne à 3 km de Bonnat, et à 18km de Gueret en Creuse. Nous le faisons grâce aux connaissances de mon mari Alexandre des différents corps de métier et j'en profite pour le remercier de son soutien indéfectible.

Nous le rénovons avec nos bras mais nous manquons de fonds pour acheter le matériel pour le faire ! Chaux, sable, ciment, graviers, peintures ….

Cette demeure est dans la famille depuis 500 ans et ce projet nous tient tellement à cœur ! 

Elle a appartenu notamment à M. Stéphane AJASSON DE GRANDSAGNE (20 juillet 1802 - 11 avril 1845). Il fut le premier amour de Georges Sand et voici un résumé de sa vie - extrait de l' Echo du Berry de Danielle Pearon  :

"Jean-Baptiste-François-Étienne (dit Stéphane) Ajasson de Grandsagne est né à La Châtre le 20 juillet 1802, dernier d’une famille de dix enfants. Il était le fils de François Ajasson de Grandsagne et de Marie Aumeur. Tout jeune, il se passionne pour les sciences et envisage même de devenir médecin. Finalement, il intègre le Muséum d’histoire naturelle à Paris où il est dans un premier temps l’élève de Georges Cuvier, anatomiste et paléontologue, avant d’en devenir le collaborateur durant plusieurs années ainsi que celui de Louis Jacques Thénard, chimiste.

A l’âge de 25 ans, Stéphane Ajasson de Grandsagne crée la Bibliothèque populaire, ou l'Instruction mise à la portée de toutes les classes et de toutes les intelligences. Cette collection réunira plus de 200 ouvrages et constituera ainsi une vaste encyclopédie de culture scientifique à un prix accessible. Pour ces publications, il obtient la participation de savants et de scientifiques réputés. Il y publie plusieurs ouvrages, notamment Leçons élémentaires de physique et d'astronomie (1827), Description et usages des instruments météorologiques (1828), Manuel de chimie générale et appliquée à la médecine (1828), Notice sur les ouvrages de Pline (1829), Précis d’ichtyologie ou d'histoire naturelle des poissons (1829) ou encore Traité élémentaire d'astronomie (1833). Physique, météorologie, histoire, industrie, mécanique, etc..

Stéphane Ajasson de Grandsagne s’intéresse à de nombreuses disciplines et à divers sujets sur lesquels il écrit des ouvrages de vulgarisation. En 1831, il a même rédigé en compagnie d’Auguste de Laveleye un mémoire intitulé Nécessité et moyen d’occuper les ouvriers qui manquent d’ouvrage en France. Il porte également un grand intérêt aux auteurs latins et se fait par exemple traducteur de Pline l’Ancien, dont l’Histoire naturelle est publiée en 19 volumes. Membre de l’Académie des inscriptions et belles lettres ainsi que des académies de Berlin, Londres et Saint-Petersbourg, Stéphane Ajasson de Grandsagne a aussi traduit les œuvres complètes du philosophe Sénèque (8 volumes).

Avec Hippolyte Chatiron, demi-frère d’Aurore Dupin – plus connue sous le nom de George Sand –, il écrit en 1832 un roman quelque peu bizarre : Crac ! Pchcht ! Baounhd ? ! ! ou le Manteau d'un sous-lieutenant, réalités hyperdrolatiques et posthumes. C’est en 1820 que Stéphane Ajasson de Grandsagne fait la connaissance d’Aurore Dupin, par l’intermédiaire de Jean-François Deschartres, précepteur de la jeune femme, qui connaît la famille Ajasson de Grandsagne et qui sait que Stéphane est étudiant en médecine. Il fait se rencontrer les deux jeunes gens qui ont deux ans d’écart. Stéphane, alors âgé de 18 ans, donne des cours de sciences à Aurore.

Les nombreuses publications de Stéphane Ajasson de Grandsagne, qui souhaitait que ses ouvrages soient à la portée de tout le monde, l’on conduit à la ruine. Il est mort brutalement à Lyon en avril 1845.

Une rue de La Châtre, qui part de la place du Marché et va jusqu’à la place Laisnel-de-la-Salle, en traversant la place de l’Eglise et en passant devant le siège de L’Echo du Berry, porte le nom de François Ajasson de Grandsagne, le père de Stéphane, ancien capitaine d’artillerie, qui a été maire de la ville de 1800 à 1805. Près de la place de l’Abbaye, rue du 4-Septembre, un panneau comportant un portrait de Stéphane Ajasson de Grandsagne indique la maison de famille où il est né."

Je ne manquerai pas de vous communiquer des photos de l'évolution de nos travaux et de vous produire, sur demande, les factures d'achat de matériels. 

Par avance, UN MERCI GÉANT ET CHALEUREUX pour vos dons et pour votre aide à diffuser autour de vous ce projet. Cela nous permettra de concrétiser nos rêves et de rendre hommage ainsi à nos différents ancêtres qui nous permettent cela .


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Merci à tous.

Bonjour à tous, nous rénovons le château de Grandagne à 3 km de Bonnat, et à 18km de Gueret en Creuse. Nous le faisons grâce aux connaissances de mon mari Alexandre des différents corps de métier et j'en profite pour le remercier de son soutien indéfectible.

Nous le rénovons avec nos bras mais nous manquons de fonds pour acheter le matériel pour le faire ! Chaux, sable, ciment, graviers, peintures ….

Cette demeure est dans la famille depuis 500 ans et ce projet nous tient tellement à cœur ! 

Elle a appartenu notamment à M. Stéphane AJASSON DE GRANDSAGNE (20 juillet 1802 - 11 avril 1845). Il fut le premier amour de Georges Sand et voici un résumé de sa vie - extrait de l' Echo du Berry de Danielle Pearon  :

"Jean-Baptiste-François-Étienne (dit Stéphane) Ajasson de Grandsagne est né à La Châtre le 20 juillet 1802, dernier d’une famille de dix enfants. Il était le fils de François Ajasson de Grandsagne et de Marie Aumeur. Tout jeune, il se passionne pour les sciences et envisage même de devenir médecin. Finalement, il intègre le Muséum d’histoire naturelle à Paris où il est dans un premier temps l’élève de Georges Cuvier, anatomiste et paléontologue, avant d’en devenir le collaborateur durant plusieurs années ainsi que celui de Louis Jacques Thénard, chimiste.

A l’âge de 25 ans, Stéphane Ajasson de Grandsagne crée la Bibliothèque populaire, ou l'Instruction mise à la portée de toutes les classes et de toutes les intelligences. Cette collection réunira plus de 200 ouvrages et constituera ainsi une vaste encyclopédie de culture scientifique à un prix accessible. Pour ces publications, il obtient la participation de savants et de scientifiques réputés. Il y publie plusieurs ouvrages, notamment Leçons élémentaires de physique et d'astronomie (1827), Description et usages des instruments météorologiques (1828), Manuel de chimie générale et appliquée à la médecine (1828), Notice sur les ouvrages de Pline (1829), Précis d’ichtyologie ou d'histoire naturelle des poissons (1829) ou encore Traité élémentaire d'astronomie (1833). Physique, météorologie, histoire, industrie, mécanique, etc..

Stéphane Ajasson de Grandsagne s’intéresse à de nombreuses disciplines et à divers sujets sur lesquels il écrit des ouvrages de vulgarisation. En 1831, il a même rédigé en compagnie d’Auguste de Laveleye un mémoire intitulé Nécessité et moyen d’occuper les ouvriers qui manquent d’ouvrage en France. Il porte également un grand intérêt aux auteurs latins et se fait par exemple traducteur de Pline l’Ancien, dont l’Histoire naturelle est publiée en 19 volumes. Membre de l’Académie des inscriptions et belles lettres ainsi que des académies de Berlin, Londres et Saint-Petersbourg, Stéphane Ajasson de Grandsagne a aussi traduit les œuvres complètes du philosophe Sénèque (8 volumes).

Avec Hippolyte Chatiron, demi-frère d’Aurore Dupin – plus connue sous le nom de George Sand –, il écrit en 1832 un roman quelque peu bizarre : Crac ! Pchcht ! Baounhd ? ! ! ou le Manteau d'un sous-lieutenant, réalités hyperdrolatiques et posthumes. C’est en 1820 que Stéphane Ajasson de Grandsagne fait la connaissance d’Aurore Dupin, par l’intermédiaire de Jean-François Deschartres, précepteur de la jeune femme, qui connaît la famille Ajasson de Grandsagne et qui sait que Stéphane est étudiant en médecine. Il fait se rencontrer les deux jeunes gens qui ont deux ans d’écart. Stéphane, alors âgé de 18 ans, donne des cours de sciences à Aurore.

Les nombreuses publications de Stéphane Ajasson de Grandsagne, qui souhaitait que ses ouvrages soient à la portée de tout le monde, l’on conduit à la ruine. Il est mort brutalement à Lyon en avril 1845.

Une rue de La Châtre, qui part de la place du Marché et va jusqu’à la place Laisnel-de-la-Salle, en traversant la place de l’Eglise et en passant devant le siège de L’Echo du Berry, porte le nom de François Ajasson de Grandsagne, le père de Stéphane, ancien capitaine d’artillerie, qui a été maire de la ville de 1800 à 1805. Près de la place de l’Abbaye, rue du 4-Septembre, un panneau comportant un portrait de Stéphane Ajasson de Grandsagne indique la maison de famille où il est né."

Je ne manquerai pas de vous communiquer des photos de l'évolution de nos travaux et de vous produire, sur demande, les factures d'achat de matériels. 

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Créée le 21-06-23

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