L’AVC n’est pas une fatalité.

En 2022, j’ai été victime d’un AVC, comme 130 000 personnes par an en France. Durant mon séjour à l’hôpital, j’ai longuement échangé avec mes neurologues et mes thérapeutes pour en arriver à la conclusion que l’AVC n’est pas une fatalité. Cela fait plus de 30 ans, que je conseille des grands groupes industriels dans le domaine de la prévention. Je souhaite, à présent, développer, en mettant à profit mon expérience dans ce domaine, un dispositif médical (CE-Classe2B) afin d’alerter les praticiens (et eux seuls) d’un risque imminent d’AVC ou de récidive (30 à 43 % de risque dans les 5). Pour cet ambitieux projet, je fais appel à vous tous, pour m’aider à en assurer le financement, et, comme tous ceux qui risque de faire un AVC, ou, qui en ont fait un, je vous en serai reconnaissant. Aujourd’hui, suit à mon AVC, j’ai la qualité de travailleur handicapé, et, c’est pourquoi, j’entends privilégier, pour certains postes, l’embauche de personnes dans la même situation que moi.

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Merci à tous.