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Créée par hedi bouloudhnine

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A propos de cette cagnotte

Nous habitons à Briançon et sommes les propriétaires du bâtiment "Les Jeunes Pousses" qui a été squatté

depuis le 4 août 2023.

Il s’agit d’une ancienne clinique pédiatrique où étaient soignés notamment des enfants accompagnés, entre

autres, par l’association "Mères Enfants PACA" dirigée par Madame Gasmi.

Mon époux est pneumo-pédiatre et je suis enseignante.

Nous avons acquis cet établissement en 2006, et ce fut un immense bonheur pour nous de prendre en charge

des enfants venus des quatre coins de la France, souffrant d’asthme sévère et de pathologies respiratoires, qui

ne leur permettaient pas de mener une vie "normale" dans leurs régions d’origine.

Ces enfants séjournaient toute l’année aux Jeunes Pousses (sauf pendant les vacances scolaires), tout en étant

scolarisés dans les établissements de Briançon.

Les Jeunes Pousses possèdent une âme et une histoire, et nous avons laissé de bons souvenirs aux familles.

Les enfants et adolescents ont trouvé aux Jeunes Pousses et dans les écoles de Briançon la santé et une vie

stable, avec de nombreuses activités. Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour leur offrir une

vie meilleure et un cadre familial digne de ce nom.


Cet été, nous avons dû partir en Syrie pour voir nos parents. Avant notre départ, j’ai pris soin, avec l’aide

d’un ami, de fermer soigneusement le bâtiment des "Jeunes Pousses" en mettant des cadenas partout, et nous

avons fait le tour du bâtiment à plusieurs reprises. Nous avons également demandé à notre ami de faire des

rondes durant notre absence.


Nous sommes partis rassurés car le bâtiment est situé entre le commissariat de police, la Sous-Préfecture et

l’école primaire mitoyenne de Mi Chaussée, offrant ainsi un gage de sécurité.

Nous avions confiance, notamment depuis la promulgation de la nouvelle loi anti squat en juillet 2023, et

nous pensions naïvement que le jugement nous permettrait de récupérer rapidement notre bien squatté,

d’autant plus que tous les dossiers médicaux des enfants des Jeunes Pousses ainsi que ceux des patients du

cabinet de mon époux se trouvent dans les locaux. De plus, tous les dossiers du personnel des Jeunes

Pousses, archivés depuis des décennies, s’y trouvent également.

Je souhaiterais mettre en lumière un aspect souvent négligé : celui des propriétaires qui subissent d'énormes

préjudices dans ce contexte. Permettez-moi de vous exposer notre situation.

Les squatteurs ont délibérément détourné cet espace en en faisant un lieu d’hébergement pour des migrants,

transformant ainsi la nature du squat. Bien que l'accueil des migrants soit une question délicate, en tant que

particuliers, nous ne pouvons pas assumer le rôle de solution d'accueil pour ces personnes en grande

difficulté. Malgré notre soutien constant aux associations locales, nous n'avons jamais cautionné cette forme

de squat.

Mon époux, le Docteur Faraj, aspire à rouvrir son cabinet médical qui se trouvait dans ces locaux (nous nous

trouvons dans une zone désertique sur le plan médical).

La situation est désespérante car les squatteurs dégradent systématiquement tout ; une attitude singulière

dans le cadre d'une action humanitaire ! Les migrants ne sont en rien responsables, ce sont les squatteurs qui

ont négligé le respect des locaux des Jeunes Pousses. Leurs actions, telles que l'allumage de feux à l'intérieur,

représentent un danger pour l'ensemble du quartier, surtout pour l’école primaire voisine.

Il est risqué de laisser perdurer ce refuge illégal non déclaré. À l'origine prévu pour accueillir 49 enfants, les

Jeunes Pousses voient désormais jusqu’à 300 individus accueillis quotidiennement par une bande de

squatteurs.

Alors que les squatteurs bénéficient pleinement de leurs droits, y compris l'assistance juridique, nos propres

droits sont ignorés et nous ne disposons d'aucun recours. Cette situation survient après une période difficile,

marquée par la fermeture de notre établissement et ses conséquences.

En temps normal, un cabinet médical est respecté et protégé. Pourquoi le voir ainsi saccagé ?

C’est donc dans un état de désarroi profond que je m’adresse à vous en dernier recours. Votre aide serait

cruciale pour nous permettre de récupérer notre bien avant qu'il ne soit trop tard.


Ici, vous pouvez apporter votre contribution à la cagnotte en cliquant sur "Je Participe" :
• Les participations sont libres
• Le site est entièrement sécurisé.

Merci à tous.

Nous habitons à Briançon et sommes les propriétaires du bâtiment "Les Jeunes Pousses" qui a été squatté

depuis le 4 août 2023.

Il s’agit d’une ancienne clinique pédiatrique où étaient soignés notamment des enfants accompagnés, entre

autres, par l’association "Mères Enfants PACA" dirigée par Madame Gasmi.

Mon époux est pneumo-pédiatre et je suis enseignante.

Nous avons acquis cet établissement en 2006, et ce fut un immense bonheur pour nous de prendre en charge

des enfants venus des quatre coins de la France, souffrant d’asthme sévère et de pathologies respiratoires, qui

ne leur permettaient pas de mener une vie "normale" dans leurs régions d’origine.

Ces enfants séjournaient toute l’année aux Jeunes Pousses (sauf pendant les vacances scolaires), tout en étant

scolarisés dans les établissements de Briançon.

Les Jeunes Pousses possèdent une âme et une histoire, et nous avons laissé de bons souvenirs aux familles.

Les enfants et adolescents ont trouvé aux Jeunes Pousses et dans les écoles de Briançon la santé et une vie

stable, avec de nombreuses activités. Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour leur offrir une

vie meilleure et un cadre familial digne de ce nom.


Cet été, nous avons dû partir en Syrie pour voir nos parents. Avant notre départ, j’ai pris soin, avec l’aide

d’un ami, de fermer soigneusement le bâtiment des "Jeunes Pousses" en mettant des cadenas partout, et nous

avons fait le tour du bâtiment à plusieurs reprises. Nous avons également demandé à notre ami de faire des

rondes durant notre absence.


Nous sommes partis rassurés car le bâtiment est situé entre le commissariat de police, la Sous-Préfecture et

l’école primaire mitoyenne de Mi Chaussée, offrant ainsi un gage de sécurité.

Nous avions confiance, notamment depuis la promulgation de la nouvelle loi anti squat en juillet 2023, et

nous pensions naïvement que le jugement nous permettrait de récupérer rapidement notre bien squatté,

d’autant plus que tous les dossiers médicaux des enfants des Jeunes Pousses ainsi que ceux des patients du

cabinet de mon époux se trouvent dans les locaux. De plus, tous les dossiers du personnel des Jeunes

Pousses, archivés depuis des décennies, s’y trouvent également.

Je souhaiterais mettre en lumière un aspect souvent négligé : celui des propriétaires qui subissent d'énormes

préjudices dans ce contexte. Permettez-moi de vous exposer notre situation.

Les squatteurs ont délibérément détourné cet espace en en faisant un lieu d’hébergement pour des migrants,

transformant ainsi la nature du squat. Bien que l'accueil des migrants soit une question délicate, en tant que

particuliers, nous ne pouvons pas assumer le rôle de solution d'accueil pour ces personnes en grande

difficulté. Malgré notre soutien constant aux associations locales, nous n'avons jamais cautionné cette forme

de squat.

Mon époux, le Docteur Faraj, aspire à rouvrir son cabinet médical qui se trouvait dans ces locaux (nous nous

trouvons dans une zone désertique sur le plan médical).

La situation est désespérante car les squatteurs dégradent systématiquement tout ; une attitude singulière

dans le cadre d'une action humanitaire ! Les migrants ne sont en rien responsables, ce sont les squatteurs qui

ont négligé le respect des locaux des Jeunes Pousses. Leurs actions, telles que l'allumage de feux à l'intérieur,

représentent un danger pour l'ensemble du quartier, surtout pour l’école primaire voisine.

Il est risqué de laisser perdurer ce refuge illégal non déclaré. À l'origine prévu pour accueillir 49 enfants, les

Jeunes Pousses voient désormais jusqu’à 300 individus accueillis quotidiennement par une bande de

squatteurs.

Alors que les squatteurs bénéficient pleinement de leurs droits, y compris l'assistance juridique, nos propres

droits sont ignorés et nous ne disposons d'aucun recours. Cette situation survient après une période difficile,

marquée par la fermeture de notre établissement et ses conséquences.

En temps normal, un cabinet médical est respecté et protégé. Pourquoi le voir ainsi saccagé ?

C’est donc dans un état de désarroi profond que je m’adresse à vous en dernier recours. Votre aide serait

cruciale pour nous permettre de récupérer notre bien avant qu'il ne soit trop tard.

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Créée le 17-12-23

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