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Créée par Sylvie Delbouys

A propos de cette cagnotte

Zia est un journaliste de télévision afghan arrivé en France début mai 2024. Il a vécu dans son pays des choses abominables qui ont provoqué  la mort de certains de ses proches et de ses collègues. Après une longue errance en Iran, il a obtenu un visa grâce à l’aide du Syndicat national des journalistes (SNJ) et d’une retraitée audoise, Khaya, qui a accepté de l’héberger. En juin dernier, une première collecte a permis de soutenir cette personne généreuse qui n'arrivait plus à faire face aux dépenses nécessaires, notamment liées aux transports en train jusqu’à Montpellier où ont eu lieu les démarches de demande d’asile. Depuis juin, Zia vit dans un Cada (centre d'accueil des demandeurs d'asile) à Montpellier. Il a obtenu en septembre le statut de réfugié. La collecte lui a permis de se nourrir et de lui ouvrir un compte en banque notamment.

En ce mois de novembre 2024, sa situation reste encore très préoccupante. Cela fait plus de deux mois qu'il ne touche aucune allocation en raison d'un problème administratif de transmission de documents vers la Caf. Et surtout, il vit dans l'angoisse de pas arriver à subvenir aux besoins de son épouse - juriste privée de tous droits dont celui de travailler- et de ses cinq enfants restés à Kaboul. Il n'a jamais vu le dernier né âgé de 20 mois, car il a dû s'enfuir d'Afghanistan alors que cette jeune femme était enceinte. “Je fais des cauchemars en les imaginant avoir froid et faim”, raconte-t-il. En raison du régime imposé par les talibans, son épouse vit recluse et leur fille de 10 ans n'a plus le droit d'aller à l'école.  

Aujourd'hui, sa préoccupation est donc de sortir sa famille de l'enfer de Kaboul. Cela implique de grosses dépenses pour payer les visas et le voyage, de l'Afghanistan vers l'Iran, puis vers la France. 

Il cherche activement un emploi, mais comme il ne parle pas encore français, cela demeure très compliqué pour lui. 

Son seul espoir réside dans l'aide qui peut lui être, une nouvelle fois, apportée. Il est très reconnaissant du soutien qu'il a reçu de la part de journalistes, du Syndicat des journalistes, d'anonymes, d'ami(e)s d'ami(e)s… Il remercie avec beaucoup d'émotion tous ceux qui l'ont aidé et espère que cette nouvelle collecte lui permettra de retrouver sa famille au plus vite. 

N’hésitez pas à partager ce nouvel appel aux dons ! Il cherche aussi une adresse qui lui permettrait d’héberger sa famille à son arrivée. Un grand merci pour lui !


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Merci à tous.

Zia est un journaliste de télévision afghan arrivé en France début mai 2024. Il a vécu dans son pays des choses abominables qui ont provoqué  la mort de certains de ses proches et de ses collègues. Après une longue errance en Iran, il a obtenu un visa grâce à l’aide du Syndicat national des journalistes (SNJ) et d’une retraitée audoise, Khaya, qui a accepté de l’héberger. En juin dernier, une première collecte a permis de soutenir cette personne généreuse qui n'arrivait plus à faire face aux dépenses nécessaires, notamment liées aux transports en train jusqu’à Montpellier où ont eu lieu les démarches de demande d’asile. Depuis juin, Zia vit dans un Cada (centre d'accueil des demandeurs d'asile) à Montpellier. Il a obtenu en septembre le statut de réfugié. La collecte lui a permis de se nourrir et de lui ouvrir un compte en banque notamment.

En ce mois de novembre 2024, sa situation reste encore très préoccupante. Cela fait plus de deux mois qu'il ne touche aucune allocation en raison d'un problème administratif de transmission de documents vers la Caf. Et surtout, il vit dans l'angoisse de pas arriver à subvenir aux besoins de son épouse - juriste privée de tous droits dont celui de travailler- et de ses cinq enfants restés à Kaboul. Il n'a jamais vu le dernier né âgé de 20 mois, car il a dû s'enfuir d'Afghanistan alors que cette jeune femme était enceinte. “Je fais des cauchemars en les imaginant avoir froid et faim”, raconte-t-il. En raison du régime imposé par les talibans, son épouse vit recluse et leur fille de 10 ans n'a plus le droit d'aller à l'école.  

Aujourd'hui, sa préoccupation est donc de sortir sa famille de l'enfer de Kaboul. Cela implique de grosses dépenses pour payer les visas et le voyage, de l'Afghanistan vers l'Iran, puis vers la France. 

Il cherche activement un emploi, mais comme il ne parle pas encore français, cela demeure très compliqué pour lui. 

Son seul espoir réside dans l'aide qui peut lui être, une nouvelle fois, apportée. Il est très reconnaissant du soutien qu'il a reçu de la part de journalistes, du Syndicat des journalistes, d'anonymes, d'ami(e)s d'ami(e)s… Il remercie avec beaucoup d'émotion tous ceux qui l'ont aidé et espère que cette nouvelle collecte lui permettra de retrouver sa famille au plus vite. 

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Créée le 05-06-24

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  • 38 Jours
  • 4 Heures
  • 43 Min
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17 participants

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Trubuil
 

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rocher
 

Catherine
Delbouys
 

Christophe
Zoia
 

Claire
Delbouys
 

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Florence
Moulinet
 

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Vimont
 

Henri
Frasque
 

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Valérie
Morin
 

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Bellet
 

Fabien
Bellet
 

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