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Créée par Nicolas Tavernier

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Soutien à Nicolas Tavernier dans son engagement pour la défense de la pédagogie Steiner-Waldorf.


Quelques mots semblent nécessaires pour dépeindre le contexte et présenter Nicolas Tavernier.


Les personnes qui se sentent concernées par les attaques de plus en plus virulentes, visant la pédagogie Steiner/Waldorf (et plus largement tout ce qui touche le courant de pensée appelé Anthroposophie), attaques largement relayées et promues par voie de presse, n’ignorent pas que pour l’essentiel, elles puisent leurs sources et leurs références à travers les écrits et les propos de Grégoire Perra.

Il est important de rappeler dans quel contexte Nicolas Tavernier a été amené, tout d’abord à réagir par écrit aux accusations du prétendu « lanceur d’alerte », puis à s’engager activement dans la défense de cette pédagogie, en devenant le président de l’ANPAPS (Association Nationale pour la Promotion et l'Avenir de la Pédagogie Steiner-Waldorf).


Nicolas Tavernier a lui-même été élève dans une école Steiner-Waldorf durant plus d’une dizaine d’années. Il est le fils de Janine Tavernier, l’ancienne présidente de l’UNADFI, la plus importante association de lutte contre les sectes à l’échelle nationale.

Sa propre mère était donc une spécialiste reconnue du phénomène sectaire ayant pu, durant plus d’une décennie, aiguiser son regard au contact de tous les symptômes d’abus de pouvoir, d’endoctrinement, de récupération d’argent, de gouvernance occulte, de souffrance psychologique qui sont le lot des véritables sectes.


Certes, cette connaissance « n’est pas héréditaire », comme l’a écrit un des détracteurs de N. Tavernier, mais il semble tout de même évident que celui qui baigne dans un contexte, se familiarise, forme son regard et son esprit en relation avec ce que lui apporte son proche entourage. Sur ce sujet, il est plus qu’évident que Nicolas se tient sur un terrain bien connu.

Il connaît donc bien à la fois la pédagogie Steiner, et la question des sectes ; et il est sans doute le mieux placé pour témoigner du fait que cette pédagogie n’a rien à faire avec ce creuset d’endoctrinement sectaire dont on cherche à l’affubler.


En outre, et c’est un aspect important qu’il convient de signaler, Nicolas Tavernier a toujours été très clair sur le fait qu’il ne défendait en aucun cas l’Anthroposophie en tant que courant de pensée. Je puis affirmer qu’il m’a même, en conversation privée, clairement dit qu’il n’était pas « anthroposophe », et que l’anthroposophie ne l’intéressait pas.


Pourquoi prend-t-il donc la peine de s’engager et de défendre avec force la pédagogie Steiner-Waldorf, alors qu’il n’en est d’aucune manière partie prenante : ce n’est ni un « anthroposophe », ni un enseignant « Steiner », ni un actionnaire d’une quelconque entreprise, ni même un parent d’élèves d’une école Steiner-Waldorf) ?!

Au reste, et vue la contexture actuelle, Nicolas Tavernier aurait plutôt tout à perdre en s’engageant en faveur de cette pédagogie, tant sur le plan professionnel, qu’au niveau du temps, des forces, et bien sûr, de la charge de calamités qu’il accepte d’endosser (dont le procès que lui intente M. Perra fait partie).


Ce qui le mobilise dans cette affaire, son véritable motif, ne peut être autre qu’un attachement indéfectible à la vérité et l’exécration du mensonge.

Et c’est d’ailleurs à partir de cette impulsion qu’il s’est résolu à prendre sa plume en réponse à une interview de G. Perra, publiée dans Le Point du 29/04/2019 :

« Je veux en préambule certifier que je ne suis mandaté par personne, et que je n'ai aucun intérêt, ni de près ni de loin, avec l'anthroposophie ou ses écoles. Je déteste seulement les malhonnêtetés intellectuelles qui tordent la réalité pour assouvir une quelconque revanche ou satisfaction personnelle de leurs auteurs. Et je tiens aussi à préciser que je ne suis pas un expert en anthroposophie, ni même un connaisseur. Cette réalité pourrait d'ailleurs à elle seule mettre à mal les accusations d'endoctrinement des élèves des écoles Steiner, accusations proférées par monsieur Perra, moi qui ai passé plus d'une décennie aux mains de ces enseignants. »

Extrait du témoignage de N. Tavernier, publié dans Le Point le 11/06/2019


C’est à travers ce témoignage que Nicolas Tavernier prit pour la première fois publiquement position en faveur de la pédagogie Steiner en dénonçant les procédés déloyaux de G. Perra :

« … monsieur Perra jette en pâture cette pédagogie d'une façon faussement étayée. Il instille habilement que la pédagogie Steiner s'apparente à une secte... »

Et d’ajouter : « ...Je ne peux laisser passer cela sans réagir, moi qui fus scolarisé une quinzaine d'années dans une école Steiner. Quinze ans à ressentir une pédagogie bienveillante, je le redis, respectueuse des individualités et mettant tout en œuvre pour éveiller l'esprit critique de ses élèves. Exactement le contraire de l'assujettissement recherché par les sectes. Ainsi, jamais, durant toute ma scolarité à Steiner, je n'ai entendu parler des élucubrations énoncées par Grégoire Perra dans son interview ! »


Je souhaite apporter un soutien ouvert à Nicolas Tavernier qui représente pour moi l’exemple, si rare, d’un journalisme sérieux et courageux, bien éloigné de celui pratiqué par ceux qui se paient d’une bonne conscience en criant à « la secte », sur foi de rumeurs et de contrevérités habilement distillées.

Il mérite bien un soutien massif de la part de ceux qu’il défend et représente, en premier lieu les parents des écoles Steiner-Waldorf.

Pour ce faire, Nicolas Tavernier effectue, depuis deux ans, un travail équivalent presque à un plein temps… de façon totalement bénévole !

Il a donc besoin, non seulement d’un soutien moral dans son combat pour la vérité mais aussi d’un soutien financier pour l’aider à poursuivre sa tâche.

Toute contribution, même modeste sera la bienvenue.


Mais l’enjeu actuel, il nous faut désormais en prendre conscience, dépasse sa seule personne ; il en va de la liberté pédagogique, de nos choix en tant que parents, de l’éducation de nos enfants, car … ne nous y trompons pas, les attaques incessantes que nous subissons désormais ne visent pas seulement à discréditer cette pédagogie mais à la faire interdire.


Merci de relayer aussi largement que possible ce message de soutien.


Pierre Bercut




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Soutien à Nicolas Tavernier dans son engagement pour la défense de la pédagogie Steiner-Waldorf.


Quelques mots semblent nécessaires pour dépeindre le contexte et présenter Nicolas Tavernier.


Les personnes qui se sentent concernées par les attaques de plus en plus virulentes, visant la pédagogie Steiner/Waldorf (et plus largement tout ce qui touche le courant de pensée appelé Anthroposophie), attaques largement relayées et promues par voie de presse, n’ignorent pas que pour l’essentiel, elles puisent leurs sources et leurs références à travers les écrits et les propos de Grégoire Perra.

Il est important de rappeler dans quel contexte Nicolas Tavernier a été amené, tout d’abord à réagir par écrit aux accusations du prétendu « lanceur d’alerte », puis à s’engager activement dans la défense de cette pédagogie, en devenant le président de l’ANPAPS (Association Nationale pour la Promotion et l'Avenir de la Pédagogie Steiner-Waldorf).


Nicolas Tavernier a lui-même été élève dans une école Steiner-Waldorf durant plus d’une dizaine d’années. Il est le fils de Janine Tavernier, l’ancienne présidente de l’UNADFI, la plus importante association de lutte contre les sectes à l’échelle nationale.

Sa propre mère était donc une spécialiste reconnue du phénomène sectaire ayant pu, durant plus d’une décennie, aiguiser son regard au contact de tous les symptômes d’abus de pouvoir, d’endoctrinement, de récupération d’argent, de gouvernance occulte, de souffrance psychologique qui sont le lot des véritables sectes.


Certes, cette connaissance « n’est pas héréditaire », comme l’a écrit un des détracteurs de N. Tavernier, mais il semble tout de même évident que celui qui baigne dans un contexte, se familiarise, forme son regard et son esprit en relation avec ce que lui apporte son proche entourage. Sur ce sujet, il est plus qu’évident que Nicolas se tient sur un terrain bien connu.

Il connaît donc bien à la fois la pédagogie Steiner, et la question des sectes ; et il est sans doute le mieux placé pour témoigner du fait que cette pédagogie n’a rien à faire avec ce creuset d’endoctrinement sectaire dont on cherche à l’affubler.


En outre, et c’est un aspect important qu’il convient de signaler, Nicolas Tavernier a toujours été très clair sur le fait qu’il ne défendait en aucun cas l’Anthroposophie en tant que courant de pensée. Je puis affirmer qu’il m’a même, en conversation privée, clairement dit qu’il n’était pas « anthroposophe », et que l’anthroposophie ne l’intéressait pas.


Pourquoi prend-t-il donc la peine de s’engager et de défendre avec force la pédagogie Steiner-Waldorf, alors qu’il n’en est d’aucune manière partie prenante : ce n’est ni un « anthroposophe », ni un enseignant « Steiner », ni un actionnaire d’une quelconque entreprise, ni même un parent d’élèves d’une école Steiner-Waldorf) ?!

Au reste, et vue la contexture actuelle, Nicolas Tavernier aurait plutôt tout à perdre en s’engageant en faveur de cette pédagogie, tant sur le plan professionnel, qu’au niveau du temps, des forces, et bien sûr, de la charge de calamités qu’il accepte d’endosser (dont le procès que lui intente M. Perra fait partie).


Ce qui le mobilise dans cette affaire, son véritable motif, ne peut être autre qu’un attachement indéfectible à la vérité et l’exécration du mensonge.

Et c’est d’ailleurs à partir de cette impulsion qu’il s’est résolu à prendre sa plume en réponse à une interview de G. Perra, publiée dans Le Point du 29/04/2019 :

« Je veux en préambule certifier que je ne suis mandaté par personne, et que je n'ai aucun intérêt, ni de près ni de loin, avec l'anthroposophie ou ses écoles. Je déteste seulement les malhonnêtetés intellectuelles qui tordent la réalité pour assouvir une quelconque revanche ou satisfaction personnelle de leurs auteurs. Et je tiens aussi à préciser que je ne suis pas un expert en anthroposophie, ni même un connaisseur. Cette réalité pourrait d'ailleurs à elle seule mettre à mal les accusations d'endoctrinement des élèves des écoles Steiner, accusations proférées par monsieur Perra, moi qui ai passé plus d'une décennie aux mains de ces enseignants. »

Extrait du témoignage de N. Tavernier, publié dans Le Point le 11/06/2019


C’est à travers ce témoignage que Nicolas Tavernier prit pour la première fois publiquement position en faveur de la pédagogie Steiner en dénonçant les procédés déloyaux de G. Perra :

« … monsieur Perra jette en pâture cette pédagogie d'une façon faussement étayée. Il instille habilement que la pédagogie Steiner s'apparente à une secte... »

Et d’ajouter : « ...Je ne peux laisser passer cela sans réagir, moi qui fus scolarisé une quinzaine d'années dans une école Steiner. Quinze ans à ressentir une pédagogie bienveillante, je le redis, respectueuse des individualités et mettant tout en œuvre pour éveiller l'esprit critique de ses élèves. Exactement le contraire de l'assujettissement recherché par les sectes. Ainsi, jamais, durant toute ma scolarité à Steiner, je n'ai entendu parler des élucubrations énoncées par Grégoire Perra dans son interview ! »


Je souhaite apporter un soutien ouvert à Nicolas Tavernier qui représente pour moi l’exemple, si rare, d’un journalisme sérieux et courageux, bien éloigné de celui pratiqué par ceux qui se paient d’une bonne conscience en criant à « la secte », sur foi de rumeurs et de contrevérités habilement distillées.

Il mérite bien un soutien massif de la part de ceux qu’il défend et représente, en premier lieu les parents des écoles Steiner-Waldorf.

Pour ce faire, Nicolas Tavernier effectue, depuis deux ans, un travail équivalent presque à un plein temps… de façon totalement bénévole !

Il a donc besoin, non seulement d’un soutien moral dans son combat pour la vérité mais aussi d’un soutien financier pour l’aider à poursuivre sa tâche.

Toute contribution, même modeste sera la bienvenue.


Mais l’enjeu actuel, il nous faut désormais en prendre conscience, dépasse sa seule personne ; il en va de la liberté pédagogique, de nos choix en tant que parents, de l’éducation de nos enfants, car … ne nous y trompons pas, les attaques incessantes que nous subissons désormais ne visent pas seulement à discréditer cette pédagogie mais à la faire interdire.


Merci de relayer aussi largement que possible ce message de soutien.


Pierre Bercut



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Créée le 18-10-23

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